En complément du site référencé mais malheureusement non actualisable et non commenté, ce blog éditera régulièrement une de mes "mise en boites", à vous de réagir... (la plus part de ces tableaux sont déjà vendus, dans le cas contraire le tarif pourra vous en être indiqué).
"L'ATELIER DU CROQUE-MOT"
122, montée de la grande côte 69001 Lyon
27 mai 2009
Autoportrait
Dimensions : 80 x 83cm
Des tas d'objets hétéroclites entrent dans un entonnoir, de l'autre côté se dessine un cercle...
Cercle en bric à brac, clair comme de l'eau de roche : L'anti-Sigmund
L’inconscient constitue un instrument redoutable non pas tellement par son contenu refoulé, refoulé parce que trop douloureux à exprimer, car il serait «puni» par la socioculture, mais, par tout ce qui est, au contraire, autorisé et quelquefois même «récompensé» par cette socioculture et qui a été placé dans son cerveau depuis sa naissance. Il n’a pas conscience que c’est là, mais pourtant c’est ce qui guide ses actes. C’est cet inconscient-là qui n’est pas l’inconscient freudien qui est le plus dangereux. En effet, ce qu’on appelle la personnalité d’un homme, d’un individu, se bâtit sur un bric-à-brac de jugement de valeurs, de préjugés, de lieux communs qu’il traîne et qui, à mesure que son âge avance,deviennent de plus en plus rigide et qui sont de moins en moins remis en question. Et quand une seule pierre de cet édifice est enlevée tout l’édifice s’écroule. Et il découvre l’angoisse.(1)
Le cercle est celui de l'attention et de la conscience: le premier est le laisser-faire, le second le faire, le troisième est un peu comme la fusion des deux premiers. "La porte du non-faire"ou porte de la vacuité, agir par le non-agir. Le quatrième et dernier est le non-faire. Ici, je parierais pour la fusion dans le troisième.(2)
1: H. Laborit, Eloge de la fuite 2:http://www.sarbacana.com/sarbacane/niveaux_d_attention.htm
1 commentaire:
Cercle en bric à brac, clair comme de l'eau de roche : L'anti-Sigmund
L’inconscient constitue un instrument redoutable non pas tellement par son contenu refoulé, refoulé parce que trop douloureux à exprimer, car il serait «puni» par la socioculture, mais, par tout ce qui est,
au contraire, autorisé et quelquefois même «récompensé» par cette socioculture et qui a été placé dans son cerveau depuis sa naissance. Il n’a pas conscience que c’est là, mais pourtant c’est ce qui guide ses actes.
C’est cet inconscient-là qui n’est pas l’inconscient freudien qui est le plus dangereux. En effet, ce qu’on appelle la personnalité d’un homme, d’un individu, se bâtit sur un bric-à-brac de jugement de valeurs,
de préjugés, de lieux communs qu’il traîne et qui, à mesure que son âge avance,deviennent de plus en plus rigide et qui sont de moins en moins remis en question.
Et quand une seule pierre de cet édifice est enlevée tout l’édifice s’écroule. Et il découvre l’angoisse.(1)
Le cercle est celui de l'attention et de la conscience: le premier est le laisser-faire, le second le faire, le troisième est un peu comme la fusion des deux premiers.
"La porte du non-faire"ou porte de la vacuité, agir par le non-agir. Le quatrième et dernier est le non-faire.
Ici, je parierais pour la fusion dans le troisième.(2)
1: H. Laborit, Eloge de la fuite
2:http://www.sarbacana.com/sarbacane/niveaux_d_attention.htm
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